L'hôpital de sang n°1

MERVILLE

l'Hôpital de sang n°1

Voici quelques clichés de l'hôpital Portugais qui était situé dans l'ancienne école communale des filles et se prolongeait dans les bâtiments situés dans l'actuel boulevard victor Hugo.De nombreux soldats Portugais y ont été soignés et beaucoup sont décédés dans les hôpitaux Britanniques,les Casualty Clearing Stations C.C.S n°51 et 54 qui étaient situés rue des prêtres sauf erreur de ma part.

Clichés Arnaldo Garcez - Arquivo Histórico Militar,la contemporaine (BDIC)

L'ecole aujourd'hui,photographie prise en février 2019.

Maintenant nous sommes boulevard Victor Hugo,on peut y voir des soldats/officiers Portugais et un officier Britannique.

L'endroit aujourd'hui,photographie prise en février 2019.

Toujours boulevard Victor Hugo avec ces magnifiques clichés de soldats Portugais transportant un blessé en novembre 1917.

Cliché un peu différent.

Ici nous avons en 1 le général Tamagnini et en 2 le général Gomes Da Costa en août 1917.

Pour terminer avec le boulevard Victor Hugo,voici un cliché de soldat Portugais donnant un concert en décembre 1917.

Voici l'endroit aujourd'hui,photographie prise en juin 2020.

Difficile d'être très précis car les bâtiments ne sont plus d'époque,une chose est sûre,le C.E.P était ici le long de cette route il y a plus d'un siècle.

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Quelques informations sur les CASUALTY CLEARING STATIONS (C.C.S) Hopitaux britanniques qu'il y avait à Merville.

Exemples de 2 soldats Portugais décédés  dans les C.C.S n°51 et 54,informations recueillies sur le groupe facebook: in memoriam pro patria c. e. p. formidable travail commencé par Mr Afonso Maia et malheureusement non terminé car Mr Maia est décédé en 2017 😥

Voici maintenant un magnifique document relatant des faits héroïques d'un capitaine Portugais alors que la bataille de la lys a commencé est que MERVILLE est sous un bombardement intense.

Le capitaine JOAO PEDRO MEDEIROS D'ALMEIDA a donné des soins aux blessés civils et militaires dans des conditions particulièrement difficiles et dangereuses à l'hôpital de MERVILLE,sans cesse sous le feu de l'ennemi a continué sa tâche jusqu'au 10 avril 1918 sous un bombardement intense et ne l'a quitté que lorsque l'avance de l'ennemi eut rendu indispensable l'évacuation de cet hôpital.